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La thermographie consiste à prendre des clichés thermiques, appelés thermogrammes, à l’aide d’une caméra infrarouge afin de repérer les zones chaudes et froides.
Toute surface dont la température est supérieure au zéro absolu émet un rayonnement dans le spectre infrarouge. Plus la surface est chaude, plus la quantité de rayonnement captée par la caméra infrarouge est importante.
La caméra permet la mesure de la température de la surface étudiée en convertissant alors ses rayonnements en une image radiométrique lisible par l’œil.
Cette image, appelée thermogramme, retranscrit l’information capturée : la couleur de chaque pixel présent sur l’image détermine la température précise de la matière photographiée et permet ainsi de mettre en évidence les différences de température.
Il s’agit d’une méthode passive, non-destructive, non intrusive et sans danger pour les êtres vivants.
Lier l’Infilrométrie à la thermographie permet d’accentuer la visibilité des zones de désordre.
L’infiltrométrie est un test de perméabilité à l’air réalisé par des opérateurs certifiés Effinergie BBC.
Pour effectuer le test, l’opérateur utilise une « porte soufflante », qu’il place sur une entrée du bâtiment. Cette porte est équipée d’un ventilateur et d’une toile en nylon. Toutes les ouvertures maitrisées (grilles d’aération, VMC…) donnant sur l’extérieur du bâtiment sont alors calfeutrées. Le bâtiment devient alors hermétique aux flux d’air maitrisés.
La mise en service du ventilateur permet de mettre en dépression ou surpression le bâtiment et d’y mesurer la quantité d’air non maitrisé rentrant dans le bâtiment. Cette mesure correspond à la somme des fuites d’air. A l’aide d’une camera infrarouge et/ou d’un fumigène, l’opérateur va localiser les différents désordres mis en évidence.
L’objectif de ce test est de détecter d’éventuels problèmes de mise en œuvre de visualiser et de mesurer les flux d’air parasites qui s’infiltrent au travers de l’enveloppe du bâtiment de calculer un coefficient Q4Pa-surf pouvant être réintégré dans le calcul global de l’étude thermique du bâtiment, en redéfinissant ainsi les consommations énergétiques.
Associer la Thermographie à l’Infilrométrie permet d’accentuer la visibilité des zones de désordre.
Les spécialistes se basent sur l’Infiltrométrie pour effectuer une expertise.
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Bâtiments Basse Consommation (BBC-Effinergie) dans le cadre de l’application de la règlementation thermique RT2005 en vigueur aujourd’hui.
Depuis Novembre 2011: tous les bâtiments tertiaires neufs dans le cadre de l’application de la règlementation thermique RT2012.
Depuis le 1er janvier 2013: tous les bâtiment d’habitation neufs dans le cadre de l’application de la règlementation thermique RT2012.
Il est de la responsabilité du maître d’ouvrage de garantir la faible perméabilité à l’air du bâtiment construit.
Vous trouverez sur le web des sites d'expert qui pourront vous accompagner le maître d’ouvrage tout au long du projet, en phases conception, construction et réception afin de garantir l’atteinte de l’objectif légal.
L’utilisation de la thermographie lié a une mise en dépression des locaux testé , permet aussi de visualiser les fuites d’air présente entre deux pièces provoquant des nuisances olfactive.
- Recherche de fuites entre des locaux contenant des cuves a fioul et les appartements situé a l’étage supérieur,
- Mise en évidence du passage de l’air vicié,
- Visualisation de canalisations.
- La recherche de fuites d’eau au niveau de la toiture et des murs,
- La localisation d’une fuite d’eau sur une canalisation,
- La localisation de l’endroit précis où la canalisation est bouché,
- de localiser un plancher chauffant, d’en vérifier le bon fonctionnement, et de repérer les zones de défaillance,
- de contrôler la qualité des connexions d’une armoire électrique.
Ces différentes démarches permettent d’intervenir à l’endroit précis des désordres.
Utilisant des procédés non intrusifs, le Diagnostic Thermique de l’enveloppe du bâtiment met en évidence les déperditions, invisibles à l’œil nu sans altérer le bâti en, mettant en relief :
- Les ponts thermiques,
- Les infiltrations d’air,
- Les zones de point de rosé (zones d’humidité),
- Les défauts d’isolation.
- Thermographie des façades extérieures et toitures,
- Thermographie de chacune des pièces intérieures chauffées donnant sur l’extérieur,
- Infiltrométrie sur l’ensemble du bâtiment (Test de Perméabilité à l’air) suivant la norme NF EN 13829 (guide d’application GAP 50-784).
- photos numériques et infrarouge (thermogrammes) des désordres,
- interprétation de la nature de ces désordres,
- recommandations personnalisées pour aide à la décision des travaux à engager.
- hiérarchisation des travaux avant de les engager,
- intervention avec certitude sur les zones déperditives,
- intervention en cours de chantier pour assurer un contrôle de qualité de la mise en œuvre,
- réduction de la production de gaz à effet de serre,
- valorisation du bien immobilier,
- maitrise des dépenses énergétiques,
- amélioration du confort été-hiver.
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Source agence-de-thermographie.fr 2012
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