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Mise à jour le 01/01/2024
cohabiting-seniors.com
Les aînés qui cohabitent : Pourquoi les adultes plus âgés sont-ils plus favorables à la cohabitation ?
Au cours des deux dernières décennies, les attitudes envers la cohabitation ont considérablement changé. Par rapport aux adultes plus jeunes, les adultes plus âgés sont plus favorables à la cohabitation. La cohabitation facilite également les transferts économiques entre les générations. En outre, la cohabitation offre aux aînés une alternative à long terme au mariage. Toutefois, les aînés qui cohabitent sont confrontés à de nombreux défis, notamment des difficultés financières et de sécurité sociale.
Malgré ces difficultés, les personnes âgées acceptent de plus en plus la cohabitation comme une alternative au mariage. En fait, près de la moitié des personnes âgées sont d'accord ou tout à fait d'accord pour dire que vivre ensemble sans avoir l'intention de se marier est acceptable. Cette acceptation croissante de la cohabitation est alimentée par l'augmentation du nombre d'adultes non mariés. Le nombre de personnes âgées qui cohabitent augmente plus rapidement que le nombre de mariages. Cette croissance rapide semble être le principal facteur à l'origine de l'augmentation rapide de la cohabitation.
Afin de mieux comprendre les raisons de ce changement d'attitude à l'égard de la cohabitation, les chercheurs étudient les contributions relatives du changement intra-cohorte et du remplacement de cohorte. Le changement intracohorte désigne l'évolution des attitudes des individus d'une même cohorte sur une période donnée. Généralement, le changement intra-cohorte se produit en raison d'événements qui touchent tous les groupes d'âge et ont le même effet sur chaque individu.
Cependant, les chercheurs ont constaté que le changement intra-cohorte est moins important que le remplacement de cohorte. Au cours de la période 1994-2002, les attitudes des adultes plus âgés envers la cohabitation ont changé d'un peu plus de 10 %. Cependant, au cours de la période 2002-2012, l'attitude des personnes âgées à l'égard de la cohabitation a augmenté de 15 % en moyenne. C'est plus de trois fois le taux de changement intra-cohorte.
Si l'attitude des personnes âgées à l'égard de la cohabitation est devenue plus favorable au fil du temps, les chercheurs doivent encore identifier les facteurs qui déterminent leur niveau de soutien. Les résultats de cette étude permettent de comprendre les attitudes des adultes plus âgés et peuvent aider à prédire la croissance future de la cohabitation. Il est important de noter que, bien que les probabilités d'attitudes favorables soient plus élevées parmi les cohortes successives, les effets de période sont relativement faibles.
L'étude a utilisé les données du National Social, Life, Health, and Aging Project 2005-2006, une enquête menée auprès des personnes âgées. Un total de 7 731 répondants ont participé à l'étude. L'échantillon était composé de deux groupes d'âge principaux, les baby-boomers précoces et tardifs. L'étude s'est appuyée sur des entretiens en face à face dans 48 États contigus. Elle a été administrée par le National Opinion Research Center.
L'enquête a également porté sur les liens sociaux. Le fait d'avoir des enfants, la pratique religieuse et la fréquentation d'une institution religieuse ont été utilisés pour évaluer les liens sociaux. L'enquête a révélé que les adultes plus âgés ayant des enfants étaient plus favorables à la cohabitation que ceux sans enfants. L'étude a également révélé que la durée de cohabitation d'un adulte plus âgé était plus longue que celle des adultes plus jeunes. La cohabitation est également plus acceptable chez les adultes plus âgés qui fréquentent une institution religieuse. Les auteurs concluent que ces résultats sont cohérents avec les conclusions d'autres recherches.
Bien que les changements intra-cohorte et le remplacement de cohorte semblent être les principaux facteurs influençant la croissance rapide de la cohabitation chez les adultes plus âgés, il est important de considérer les conséquences sociales de la cohabitation. Par exemple, les couples de seniors qui cohabitent sont confrontés à des difficultés financières, à des problèmes de sécurité sociale et à la désapprobation éventuelle de leurs enfants. La cohabitation soulève également des questions juridiques, notamment en ce qui concerne la possibilité de combiner les actifs. Cela peut amener certaines personnes âgées à reconsidérer la possibilité de contracter un mariage officiel.
Au cours des deux dernières décennies, les attitudes envers la cohabitation ont considérablement changé. Par rapport aux adultes plus jeunes, les adultes plus âgés sont plus favorables à la cohabitation. La cohabitation facilite également les transferts économiques entre les générations. En outre, la cohabitation offre aux aînés une alternative à long terme au mariage. Toutefois, les aînés qui cohabitent sont confrontés à de nombreux défis, notamment des difficultés financières et de sécurité sociale.
Malgré ces difficultés, les personnes âgées acceptent de plus en plus la cohabitation comme une alternative au mariage. En fait, près de la moitié des personnes âgées sont d'accord ou tout à fait d'accord pour dire que vivre ensemble sans avoir l'intention de se marier est acceptable. Cette acceptation croissante de la cohabitation est alimentée par l'augmentation du nombre d'adultes non mariés. Le nombre de personnes âgées qui cohabitent augmente plus rapidement que le nombre de mariages. Cette croissance rapide semble être le principal facteur à l'origine de l'augmentation rapide de la cohabitation.
Afin de mieux comprendre les raisons de ce changement d'attitude à l'égard de la cohabitation, les chercheurs étudient les contributions relatives du changement intra-cohorte et du remplacement de cohorte. Le changement intracohorte désigne l'évolution des attitudes des individus d'une même cohorte sur une période donnée. Généralement, le changement intra-cohorte se produit en raison d'événements qui touchent tous les groupes d'âge et ont le même effet sur chaque individu.
Cependant, les chercheurs ont constaté que le changement intra-cohorte est moins important que le remplacement de cohorte. Au cours de la période 1994-2002, les attitudes des adultes plus âgés envers la cohabitation ont changé d'un peu plus de 10 %. Cependant, au cours de la période 2002-2012, l'attitude des personnes âgées à l'égard de la cohabitation a augmenté de 15 % en moyenne. C'est plus de trois fois le taux de changement intra-cohorte.
Si l'attitude des personnes âgées à l'égard de la cohabitation est devenue plus favorable au fil du temps, les chercheurs doivent encore identifier les facteurs qui déterminent leur niveau de soutien. Les résultats de cette étude permettent de comprendre les attitudes des adultes plus âgés et peuvent aider à prédire la croissance future de la cohabitation. Il est important de noter que, bien que les probabilités d'attitudes favorables soient plus élevées parmi les cohortes successives, les effets de période sont relativement faibles.
L'étude a utilisé les données du National Social, Life, Health, and Aging Project 2005-2006, une enquête menée auprès des personnes âgées. Un total de 7 731 répondants ont participé à l'étude. L'échantillon était composé de deux groupes d'âge principaux, les baby-boomers précoces et tardifs. L'étude s'est appuyée sur des entretiens en face à face dans 48 États contigus. Elle a été administrée par le National Opinion Research Center.
L'enquête a également porté sur les liens sociaux. Le fait d'avoir des enfants, la pratique religieuse et la fréquentation d'une institution religieuse ont été utilisés pour évaluer les liens sociaux. L'enquête a révélé que les adultes plus âgés ayant des enfants étaient plus favorables à la cohabitation que ceux sans enfants. L'étude a également révélé que la durée de cohabitation d'un adulte plus âgé était plus longue que celle des adultes plus jeunes. La cohabitation est également plus acceptable chez les adultes plus âgés qui fréquentent une institution religieuse. Les auteurs concluent que ces résultats sont cohérents avec les conclusions d'autres recherches.
Bien que les changements intra-cohorte et le remplacement de cohorte semblent être les principaux facteurs influençant la croissance rapide de la cohabitation chez les adultes plus âgés, il est important de considérer les conséquences sociales de la cohabitation. Par exemple, les couples de seniors qui cohabitent sont confrontés à des difficultés financières, à des problèmes de sécurité sociale et à la désapprobation éventuelle de leurs enfants. La cohabitation soulève également des questions juridiques, notamment en ce qui concerne la possibilité de combiner les actifs. Cela peut amener certaines personnes âgées à reconsidérer la possibilité de contracter un mariage officiel.